« Nous ne réalité pas doutons pas que ce programme d’attestation vise à servir l’intérêt public », indique Benoît Larose, vice-président Québec de Medtech Canada.
L’association représente le secteur des technologies médicales qui compte supplémentaire de 300 entreprises au Québec, https://Etrema.Ca/ dont certaines produisent des équipements pouvant aussi être utilisés dans les milieux de travail.
Parmi les informations en vue de la conclusion de cet objectif, l’Institut mentionne la rotation des horaires de repas, la prise dans les bureaux individuels, l’érection de nouveaux locaux pour les travailleurs durant cette période, l’ajout de obstacles physiques.
Rappelons que la CNESST présente une expertise intégrée en matière de exigences du travail, etrema d’équité salariale et de santé, puis de sécurité au travail aux employeurs, ainsi qu’aux employés.
À partir de demain, le huit avril, les gens présentes sur les lieux de travail devront, avec respecter les mesures de distanciation, porter un masque médical en continu à l’intérieur.
Toutefois, précise la CNESST, dans les conditions où le port du masque médical en continu ne réalité pas serait pas atteignable par des causes de bien-être et de sécurité et celles par quoi le fait de ne pas repérer les lèvres d’une personne nuit à la communication, à la compréhension ou à l’apprentissage, elle n’est pas obligée de tenir son masques en stable.
Ce genre d’équipement de protection est exigé en tout ça temps à l’intérieur pour tous les personnes, même quand la distanciation minimale de deux mètres est respectée ou en présence de barrières Il peut être utilisé en substitut d’un masques médical.
Cette importante annonce fait suite au lancement d’un programme d’attestation de performance de masques non médicaux avec l’intention de leur utilisation en centre de travail, programme développé par le BNQ à la exige de la Commission des exigences, de l’équité, de la bien-être et d’une sécurité du travail .
Pour le travail à l’extérieur, le port d’un masque médical ou d’un masques attesté par le BNQ est exigé que ce les deux ou non des interactions à sous de deux mètres avec des collègues de travail peuvent se produire.
» On ne parle pas ici des masques jetables qu’il est possible de se procurer dans les grandes surfaces, mais bien de masques médicaux ou attesté par le BNQ.
L’organisme estime que le port du masques médical en stable, ou d’un masques attesté par le Bureau de normalisation du Québec , devient une mesure additionnelle pour restreindre la propagation du virus et de ses variants, avec la distanciation physique et d’une présence de barrières physiques.
Devant la menace des variants de la COVID-19, extrêmement plus contagieux, la Commission des normes, de l’équité, d’une santé du travail exige le port du masques médical en stable à l’intérieur dans les milieux de travail.
Des exceptions peuvent être tolérées pour des employés dont la présence est jugée nécessaire par l’employeur par la poursuite des actions de l’entreprise.
Employeurs, personnes et consommateurs pourront simplement reconnaitre les masques attestés mis en vente puisque le fabricant a sélectionné d’apposer, sur une étiquette fixée au masques, le marquage distinctif, qui inclut la marque de conformité du BNQ.
Les tonnes de masques attestés se différencient grâce à au dessous un marquage distinctif qui permet notamment aux inspecteurs d’une CNESST de confirmer aux employés et aux travailleuses que leur protection est adéquate par leurs actions.
Comme barrière filtrante, le masque attesté par le BNQ pourrait protéger l’environnement instantané de l’utilisateur s’il est lui‑même porteur d’un virus tel que le SRAS‑CoV‑2 et contagieux, mais ne présente pas de symptômes (personne présymptomatique ou asymptomatique).
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